ces salons internationaux auxquels nous avons toujours participé
Batimat. Les JDC. Glee. Cologne.
Derrière ces appellations, une réalité bien ancrée dans l’activité Builder Systems : les salons professionnels représentent une part importante de nos activités au sein du groupe. Vecteurs de notoriété importants dans une stratégie de communication, les salons permettent d’engendrer des contacts, des prospects, in fine, des clients.
Une vitrine loin d’être négligeable, d’autant plus quand, dans un marché ultra-concurrentiel, la plupart des autres marques y participe également.
Préparer un salon représente également un investissement. De temps, de moyens humains, d’argent.
A ce jour, BFTG inscrit sur son agenda une quinzaine de salons annuels. Autant d’opportunités pour affiner nos gammes produits et pour capitaliser sur nos relations clients.
Salon Batimat : développer et booster sa notoriété
C’est en 1997 que BFTG a participé pour la première fois au salon Batimat.
22 ans aujourd’hui, soit un peu plus d’une dizaine d’éditions bisannuelles.
Le groupe investit le salon en mettant d’abord en avant la marque Feider, principalement dédiée aux machines d’atelier, puis les marques du groupe sous licence, Hyundai et Energizer.
Un axe de communication bien identifié pour chaque marque
Cette stratégie ne doit rien au hasard car ce sont bien les spécialités de chacune d’entre elles qui sont mises en avant.
Ainsi, le ponçage plâtre, la ponceuse béton et les machines d’atelier pour Feider, qui s’adresse aux passionnés du bricolage, une cible qui n’est pas toujours facile à toucher, et dont il faut gagner la confiance.
Hyundai a plutôt vocation à toucher un marché en lien avec le BTP avec des produits comme les groupes électrogènes, les compacteurs, marteaux-piqueurs, tout ce qui compose la gamme chantier, créée il y a 4 ans.
Enfin Energizer, introduite lors de l’édition 2017 est à nouveau présente pour ce salon 2019 avec les groupes électrogènes et tout ce qui va tourner autour de la batterie, les tendances du marché convergeant vers le sans fil, ainsi qu’une partie luminaire avec les lampes de chantier.
Suivre l’évolution des produits
Tourné vers le produit et son utilisation , le salon Batimat représente l’occasion de montrer à nos partenaires, via nos marques, notre degré d’expertise et notre capacité à coller aux réels besoins des professionnels
Aujourd’hui la tendance du marché de l’outil se dessine assez clairement ; avec une montée en puissance des voltages, ampérages, des produits plus légers, plus maniables et une durée de vie allongée, les performances des outils sans-fil se rapprochent beaucoup de celles des thermiques, les contraintes en moins.
Et une véritable réflexion est également menée autour d’une alternative aux sources d’énergie actuelles de chantier. Passera-t-on dans un futur proche des groupes électrogènes aux power stations ?
Notre 1er échantillon sera en tout cas présenté lors de cette édition 2019.
Hyundai : une gamme « chantier » en cohérence avec la marque
« Hyundai, aux yeux du consommateur final, renvoie aux engins de chantier comme les pelles mécaniques. On a évidemment souhaité conserver une certaine logique, une cohérence, en créant une gamme d’outils de chantier » détaille Julien Cazalot, directeur commercial du groupe.
Générateurs, compresseurs, plaques vibrantes, avec, à terme, une manière également différente de « consommer » de l’équipement. La location par exemple, présente une alternative intéressante à la vente. Le CA de ce segment prend quant à lui et année après année un peu plus d’importance.
Feider : des outils qui suivent l’évolution des comportements
Si la consommation des outils évolue, l’utilisation que l’on en fait évolue aussi.
La concurrence entre artisans est rude et une proportion non négligeable possède des moyens limités, sans compter qu’aujourd’hui, plus et mieux informés, nombre d’entre eux refuse de s’abîmer la santé avec du matériel mal adapté.
Des enjeux que BFTG a appréhendé en proposant, via Feider notamment, des outils moins onéreux et plus confortables à utiliser.
Une ponceuse girafe dont le moteur est à induction présente un véritable avantage par rapport à ses concurrentes : le poids est moindre.
Les aspirateurs à double filtre présentent une sécurité supplémentaire au niveau de l’assainissement de la zone de travail.
Energizer : une notoriété mondiale au service du sans-fil
Quant à Energizer, qu’on ne présente plus, la marque à la 1ère pile alcaline, 1ère pile 0% mercure, 1ère pile A4 au lithium a toute légitimité pour présenter au monde du BTP ses équipements sans-fil combinant autonomie et performance.
A l’instar de Michelin, star du pneumatique ayant décidé de diversifier ses activités en vendant notamment des compresseurs, la marque, reconnue comme experte dans la maîtrise de l’énergie, décide d’investir le champ des sources énergétiques sur chantier.
Glee 2019 - Salon international du jardinage
Le salon international du jardinage Glee, a ouvert ses portes début septembre, en Angleterre
Consacré aux secteurs du jardin, des animaux de compagnie et des loisirs, le salon présentait les tout-derniers produits britanniques exclusifs, des idées novatrices pour les commerces, et donne aux visiteurs l’occasion de découvrir les marques internationales les plus réputées dans un large éventail de secteurs professionnels.
A cette occasion, le groupe Barrus Ltd, client anglais de BFTG, a exposé nos produits Energizer. Gamme Jardin 20V et SAV assuré par swap-uk.
SWAP deposit: the battles of Verdun
Des pièces détachées disponibles pendant au moins 5 ans
« Quand on vend, on vend une machine et du service ». avertit en préambule Michel Aurejac, collaborateur de Swap Europe. Une précision qui prend tout son sens quand on arrive au dépôt Swap de Verdun sur Garonne et qu’on pénètre dans l’entrepôt. Sur l’ensemble des racks, les cartons de pièces détachées s’empilent, se succèdent et s’élèvent en d’imposantes colonnes brunes. Une des principales missions de Swap, s’il est besoin de le rappeler, est de garantir la disponibilité des pièces détachées pendant au minimum 5 ans, et donc de garantir la possibilité de réparer sa machine. C’est également ce qui fait sa singularité quand le gros de la concurrence préfère à ce jour échanger ou rembourser. L’Assemblée nationale s’est prononcée en décembre 2019 en faveur de l’obligation, à partir de 2021, d’un indice de réparabilité des produits électriques et électroniques, on peut raisonnablement penser que les pièces détachées ont de l’avenir devant elles.
Le dépôt en quelques mots
La traduction physique de cette conservation des pièces, le dépôt de Verdun l’exprime sans ambage. L’entrepôt bien sûr et ses milliers de références, ses palettes, expédiées quotidiennement par les collaborateurs de Swap Europe. Une salle de pause. Un open-space où sont installés les bureaux qui permettent de gérer la logistique, la caractérisation des pièces détachées et les réponses aux questions techniques de nos clients. C’est aussi un centre de recyclage dont les fondations ont été coulées à l’automne 2019 et qui sortira de terre ce printemps.
L'essor du reconditionnement
De 7.000 pièces traitées en 2018 en reworking à travers l’Europe, Swap Europe est passé à 105.000 produits modifiés en 2019. Travail éprouvant dans des conditions rarement optimales (interventions d’urgence la plupart du temps sur des zones de transit), Swap a néanmoins su se faire une réputation auprès des distributeurs et constructeurs”. L’activité reworking de Swap Europe consiste à retravailler toute une série défectueuse de machines déjà produites, pour les rendre de nouveau conformes.
“Dans l’ordre, énumère le responsable de site, nous avons traité 7000 Visseuses/Scie sauteuses, 40.000 barbecues, 21.000 débroussailleuses, puis 22.000 lampes à moustiques, suivies par 800 ponceuses, 1600 broyeurs végétaux, pour finir avec 12.000 groupes électrogènes. Ça a vraiment bien pris cette année ! “.
Les défis à relever
Gaspillage, pollution, obsolescence, et si le reconditionnement devenait notre priorité ? Si la logistique propre aux flux des pièces détachées représente une partie importante des activités du dépôt de Verdun, d’autres défis sont à relever. Le centre de recyclage. “Recycler nous permettrait de traiter les matières plastiques” précise Styve Clavière, responsable du centre de reconditionnement. “L’occasion de réduire les déchets tout en offrant une seconde vie à nos produits ou pièces retravaillés. Récupérer les pièces saines des machines non réparables, pour les réutiliser, les assembler et en faire une machine fonctionnelle, c’est bien ça notre objectif.”